ENVIES
Après les hommages à Piazzolla et Lhasa, Maria de la Paz dévoile ses propres compositions dans Envies, narrant sa vie extraordinaire entre deux continents.
La talentueuse Maria de la Paz fait vibrer la scène romande avec un nouveau projet musical. Dans ce road trip sonore, Maria de la Paz se livre et raconte, dans une atmosphère intimiste, son formidable parcours, depuis son enfance dans sa Buenos Aires natale jusqu’à son arrivée en Suisse à 22 ans. Accompagnée de cinq musiciens hors pair, la chanteuse nous emmène ainsi découvrir sa vie à travers ses propres compositions et d’autres issues de diverses collaborations.
Plus qu'un concert, c’est tout un univers sensible et coloré que l’artiste nous propose ici, sous le regard de Sandra Gaudin à la mise en scène et de Philippe Saire en complice du mouvement. Les chansons originales offrent une respiration envoûtante, avec des textes poétiques sur les combats engagés de leur interprète. Servies par une artiste habitée, les compositions d’Envies évoquent tantôt Lynch, tantôt Almodovar et entrent en fusion parfaite avec des musiciens d’exception.

Photo @ Laurine Pache
Distribution
Chant et conception Maria de la Paz
Mise en scène Sandra Gaudin
Mouvement Philippe Saire
Musiciens Ignacio Lamas (guitare), Primasch (violon), Mathias Demoulin (contrebasse), Matthieu Michel (trompette), Alberto Malo (percussions)
Scénographie, vidéo, lumière Sebastien Baudet, Nidea Henriques, Keyne Motte
Costume Tania d’Ambrogio
Directrice technique Nidea Henriques
Création son Bernard Amaudruz
Administration Marianne Caplan
Diffusion Olivier Pittet
Co-Productions Casino Théâtre de Rolle
Soutiens Loterie romande, Fondation ABPI, Migros Vaud, Région Nyon, Fondation Equileo, Fondation Juchum
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LHASA
Dans ce concert hommage, Maria de la Paz permet au public de (re)découvrir les compositions poétiques de l’exceptionnelle artiste Lhasa de Sela, partie bien trop tôt.
Chanteuse charismatique née d’un père mexicain et d’une mère américaine d’origine russo-polonaise, Lhasa de Sela cultive la diversité grâce à ses origines multiples et, chemin faisant, s’affirme peu à peu comme l’une des auteures-compositrices les plus fascinantes de sa génération. Elle est décédée à l’âge de 37 ans, vaincue par le cancer le 1er janvier 2010. De son vivant, la chanteuse, basée à Montréal, a sorti trois albums : La Llorona en 1988, The Living Road cinq ans plus tard, puis Lhasa en 2009.
Lhasa de Sela est une des références les plus inspirantes dans le parcours de femme et de musicienne de Maria de la Paz. Ainsi, entourée de cinq musiciens d’exception, Maria de la Paz revisite le répertoire de la poétesse, honorant son parcours d’étoile filante et ses textes riches toujours empreints de ses racines et convictions.

Photo @ Philippe Pache
Distribution
Chant et création Maria de la Paz
Œil extérieur Lorenzo Malaguerra
Musiciens Ignacio Lama (guitare), Primasch (violon), Mathias Demoulin (contrebasse), Alberto Malo (percussions), Matthieu Michel (trompette)
Création lumière Nidea Henriques
Son Bernard Amaudruz
Administration Marianne Caplan
Diffusion Olivier Pittet
Co-Productions Casino Théâtre de Rolle, Echandole, Yverdon-les-Bains, Le Reflet, Vevey
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PIAZZOLLA
Maria de la Paz, cinq musiciens d’exception et un metteur en scène démontrent que le message et la puissance des compositions de Piazzolla sont toujours aussi actuelles.
Véritable légende argentine, Astor Piazzolla, bandonéoniste et compositeur, est considéré comme le musicien le plus important de la seconde moitié du 20ème siècle pour le tango. En tant que compatriote, Maria de la Paz a baigné dans la musique du maestro dès sa plus tendre enfance. Mais ce n’est que 25 ans plus tard, une fois installée sur le Vieux continent, qu’elle prend conscience de la nostalgie, de la subtilité, de l'engagement de ce musicien et compositeur qui marqua l'histoire d'un pays et d'un genre musical.
Pour ce spectacle, Maria de la Paz ose sortir du rôle de chanteuse pour s’imposer comme une artiste complète, qui incarne les personnages, les atmosphères de Piazzolla. Ainsi, « Preludio para el año 3001 », titre est emprunté à une chanson de Piazzolla sur le thème de la renaissance, devient global et permet à Maria de la Paz de s'ouvrir à la folie, d'être absurde, d'être sensuelle, de vivre dans les extrêmes. Car pour elle : « Chanter Piazzolla est quelque chose d'incroyablement difficile. Les harmonies sont très riches, les intentions parfois mystérieuses. Pour y arriver, on doit lâcher ».

Photo @ Laurine Pache
Distribution
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Chant et création Maria de la Paz
Mise en scène Lorenzo Malaguerra
Scénographie Kristelle Paré
Musiciens Daniel Perrin (bandonéon, arrangements), Luis Semeniuk (piano, arrangements), Jocelyne Rudasigwa (contrebasse), Ignacio Lamas (guitare), Primasch (violon)
Création lumière Romain Cottier
Son Bernard Amaudruz
Administration Marianne Caplan
Diffusion Olivier Pittet
Soutiens Fondation Meyrinoise du Casino, Fondation Ernst Göhner, Pour-cent culturel Migros, Canton de Vaud, Fondation Engelberts
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F'ÂMES EN FÊTES
Concert Voix & piano
Parées des chansons emblématiques des films de Pedro Almodovar et des incontournables mélodies d’Astor Piazzolla, Victoria et Maria convoquent leurs voix, leurs instruments et leurs corps au-delà de l’interprétation pour se fondre dans la matière mouvante et vibrante d’un message sensuel et universel.
Joies, peines, extases, désespoirs, humour et amour, tout y est !

Distribution
Chant Maria de la Paz & Victoria Harmandjieva
Chansons des films de Pedro Almodovar
Mélodies Astor Piazzolla
Administration Marianne Caplan
Diffusion Olivier Pittet
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